Quotidien silencieux.
mercredi 19 octobre 2016
L'automne
Elle avait prit la lumière entre ses doigts.
Pourtant, elle en était l'allégorie quotidienne avec ses cheveux d'or et son sourire-décor.
Pour l'éternité, figée dans la douceur de l'automne, elle sera le cerisier de mon Japon passé.
1 commentaire:
milady
20 octobre 2016 à 06:40
Très belle prose et cette enfant... beauté!
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Très belle prose et cette enfant... beauté!
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